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1.19 - Finitions et petites modifications
Après quelques nouvelles modifications et surtout la finition du ciel, une nouvelle série de photos s'impose. Cette fois, j'abandonne le téléphone, pour un appareil digne de ce nom. Même même si l'objectif (un 50mm, avec une mise au point minimum de 28cm) ne me permet pas vraiment de faire de la macro, il est suffisamment lumineux et me permet enfin de «sortir» mes ambiances. Pour les photos finales, il faudra un objectif avec une vraie fonction macro, ce sera indispensable. Je trouverai. En revanche, ça va vraiment être plus dur de filmer les trams en mouvement. S'il y a assez de lumière pour l'oeil humain, si on peut mettre un APN sur pause, une caméra réclame une vitesse au minimum du 1/100ème de seconde pour filmer un sujet en mouvement, sinon le flou de mouvement sera trop fort. Se sera encore plus compliqué de faire une caméra subjective, car en plus faudrait trouver une caméra minuscule. On verra, plus tard! Allez, je rajoute quelques personnage et le nouveau minibus Setra panoramique et photos.
Après la prise de vue, je rajoute les lumières des phares et un petit traitement sépia.
Et voilà ! Il y aura peut-être une nouvelle série de photos, car certaines modifications (boutiques, fuites de lumières...) ont pas déjà été réalisées depuis ces prises de vue. De même du côté de la déco qui reste à finaliser : personnages, véhicules, affiches. Mais rien n'est moins sur...
Avant de repartir vers l'ambiance d'une banlieue industrielle nord-américaine...
That's all folks !
1.18 - Le ciel
C'est donc le tour de ce morceau qui ne m'enchante guère : le ciel de la boite. C'est une accumulation de tout se que j'aime, le plâtre, le ponçage du plâtre et la peinture. la première étape de la fabrication du ciel a été d'arrondir les angles en faisant une forme à l'aide de Roofmat. Si cette étape a été longue, elle n'a pas été très compliqué. Je l'ai commencée il y a déjà pas mal de temps comme le montre certaines photos déjà anciennes. Une fois la forme donnée par le roofmat, je passe au plâtre. Non ce n'est pas le plâtre en lui même que je n'aime pas, mais plutôt tout ce qu'il implique. C'est long à faire, je n'ai jamais assez de temps disponible pour faire un tour complet à chaque fois. Je dois découper cette étapes en deux séance, puis attendre que se soit bien sec. Pour poncer. Poncer, c'est encore pire malgré les précautions (l'aspirateur à fond en permanence) ça fout vraiment de la poussière partout. Ce qui veux dire un très gros nettoyage complet après chaque séance, qui dure bien plus longtemps que le travail lui-même. Et il y en a eu cinq... En se qui concerne l'aspect du plâtre, j'aurai bien fait une passe supplémentaire, mais faire le ménage commençait vraiment à me sortir par les yeux.
Et je préférai passer à la peinture. Il restait une hésitation sur la couleur du ciel, blanc ou noir? Au départ je le voulait sinon blanc du moins clair. Et tout les essais de lumières ont été fait avec un sous-couche blanche. J'ai eu un peu peur qu'un ciel noir n'absorbe trop de lumière et que tout devienne trop sombre. Ce qui me forcerait à rajouter de la puissance lumineuse. Mais bon j'ai choisi de faire une ambiance de nuit, je ne peux plus guère reculer.
Alors, c'est parti pour une couche d'acrylique noire au pinceau. Ça, ça va! Puis ponçage et peinture à la bombe. Le problème, c'est que ma caisse est plus grande que ma mini-cabine de peinture, et je sais d'avance que ça va en foutre vraiment de partout... Et ça en a foutu de partout. Mais bon, le résultat est là. Le fond reçoit d'abord un voile de noir mat. Puis un voile léger de blanc. Le blanc passé de deux manière: soit il est projeté de loin pour former des gouttelettes en particulier sur la sous-face horizontale pour représenter un ciel avec les étoiles, soit projeté en un voile plus fin et plus régulier pour donner un aspect brumeux juste au dessus des toits des immeubles. Voilà, c'est fait. Passons à autres choses. Non, encore un petit coup de gris métallisé pour l'extérieur de la caisse cette fois. Encore un capitonnage sur le dessus, et là, c'est bon je n'y touche plus. Une moitié de fini!
